La Commission Electorale Nationale Indépendante (Ceni), déclare être en retard de deux mois de décaissement des fonds, pour l’accompagnement du processus électoral déjà en cours en République Démocratique du Congo. Ce que déclare le Rapporteur de ladite institution Patricia Nseya Mulela, dans un Forum News, organisé par Actualité.cd. ce mercredi 28 septembre à l’Hôtel Sultani à Kinshasa.
« L’accès à l’information publique et le e-gouvernement comme gage des élections transparentes et apaisées à l’ère du numérique », telle est la grande ligne de ce forum portant sur quatre sous-points, à savoir :
- Quels mécanismes mis en place par la Ceni pour un meilleur accès à l’information électorale ?
- Que demande la société civile ?
- Et la place du numérique ?
- Où en somme-nous avec le projet de loi sur l’accès à l’information publique ?
De ce fait, le Rapporteur de la Ceni Patricia Nseya Mulela a premièrement déclaré que le gouvernement venait de décaisser les arriérés pour ces deux mois de juin et de juillet.
Elle laisse entendre cependant qu’il reste « ‘les arriérés des mois d’août et septembre, qui s’achèvent« ‘, déclare-t-elle.
En ce qui concerne le plan d’action chronologique qui est le calendrier, elle fait le même discours que son président Denis Kadima, qui avait précédemment dit au Kongo Central : « ‘le calendrier va sortir dans les deux mois qui vont suivre, mais donner une date avec précision pour l’instant est vraiment impossible. Déjà que beaucoup de paramètres qui concourent à la publication de ce calendrier échappent au contrôle de la Ceni « , a fait savoir le président de la centrale électorale.
Cependant, la société civile demande à la Ceni de communiquer plus souvent sur les décaissement de l’Etat, pour qu’elle soit en mesure d’effectuer des plaidoiries pour que le processus électoral soit dans le délai.
Il sied de signaler que les animateurs de la centrale électorale ont tous le même discours « il y aura bel et bien les élections en 2023″‘.
la rédaction.
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