» Apres la pluie vient le beau temps« , dit-on, or tel n’est pas le cas au Pakistan, un pays situé à la région de l’Asie du sud avec pour pays frontaliers l’Iran et l’Inde, Les pluies torrentielles abattues sur la région du Sind ont laissé derrière des océans d’eaux stagnantes qui restent à déplorer. Cette situation met beaucoup plus les femmes et les enfants en danger cause de différentes épidémies qui peuvent en découler.
« Les yeux verts de Sassui sont perdus dans le vide. Ses genoux contre sa poitrine, la petite fille de 9 ans se recroqueville sur elle-même. Accablée par la fièvre et la chaleur humide, elle ne répond que par des hochements de tête. L’enfant a récemment contracté le paludisme, cette maladie transmise par les piqûres des moustiques et qui tue des centaines de milliers de personnes par an« , expliqué dans l’article publié par le Monde.
» Dans chaque tente, il y a au moins un enfant malade, certains souffrent d’une simple fièvre et de toux, d’autres, comme ma fille, ont le paludisme« , déplore Heer Jagirani, la maman d’une quarantaine d’années.
« cette famille de sept enfants a été contrainte de quitter sa maison fin août, lorsque des pluies torrentielles se sont déchaînées sur le village de Pir Ghafara Shah et sur toute cette région du Sind, située dans le sud du Pakistan. De cette commune, il ne reste qu’un tas de pierres dans la boue. Depuis, tous ses habitants ont trouvé refuge sur un chemin de terre, non loin de leur ancien village. Quasiment toute la province a été engloutie et leur campement est cerné par les eaux », peut-on lire dans un article publié par le Monde.
Signalons que ces pluies torrentielles ont laissé derrière elles une rivière grandiose qu’on peut simplement qualifier d’un océan d’eaux marrées.
Martin Tadiya.
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